Blowjob

PavlaJ’étais en séjour seul au bord de la mer et un soir je me promenais sur la jetée qui domine la baie pour faire des photos du coucher de soleil. J’attendais immobile en guettant la chute du disque d’or dans l’eau pour tenter de voir le rayon vert. Assez près de moi une femme regardait aussi l’horizon. Quand le soleil eu plongé je l’ai abordée gentiment en lui demandant si elle était en vacances. Elle fût surprise et méfiante et me dit « non je suis en convalescence ». On a discuté un moment et je l’ai invitée à prendre une boisson chaude à l’intérieur d’une brasserie confortable donnant sur l’océan. Nous étions bien installés sur une banquette et elle a commencé à se détendre car elle avait hésité longtemps avant d’accepter. Nous avons parlé longtemps de choses et d’autres. Quand je la questionnais sur sa vie elle était discrète voire évasive. Je la trouvais sympa, avec un charme certain du à son type slave aux yeux très clair confirmé par un très léger accent. Elle avait le regard lointain de ceux qui ne sont pas vraiment là. Intrigué je l’ai mise en confiance. Je l’ai invitée à une balade à pied le lendemain pour aller faire des photos sur les falaises. On a diné ensemble et là elle a craqué et m’a raconté sa vie récente expliquant son séjour de repos suite à une courte dépression. Escort Je suis originaire d’un pays de l’est où j’avais fait des études universitaires. Je suis arrivée comme réfugiée politique en parlant mal la langue et le seul travail que j’ai pu trouver c’était femme de ménage. J’ai travaillé la nuit dans des bureaux. C’était fatigant. Puis j’ai trouvé une place dans un grand palace pour faire les chambres. J’ai découvert le monde du grand luxe et ses faces cachées. Comme je suis assez présentable on m’a affectée aux étages des très riches clients, des magnats du monda entiers ayant de très grosses fortunes. Je voyais de tout, des mafieux russes, des capitalistes américains, des princes du pétrole, des dictateurs africains, des financiers chinois et bien sûr toutes sortes de trafiquants et d’escrocs qui tournaient autour pour ramasser les miettes. Quand j’ai pris mon service j’ai été formée rapidement et le chef m’a dit « ici le client est roi, tu dois les satisfaire si tu veux garder ta place ». La collègue avec qui j’ai fait les premiers jours en duo a ajouté « tu peux doubler ta paye en pourboires si tu es docile ». J’ai très vite compris. Le travail en lui-même n’était pas difficile. Il fallait faire un ménage impeccable, rapidement, discrètement. Les clients Escort Bayan étaient souvent des hommes seuls dans la quarantaine qui pensaient que l’argent peut tout. Et ma tenue stricte de bonniche à petit tablier blanc sur robe noire les excitaient presque tous.Un russe très grand me dit « toi t’es de chez nous ». Il me fit signe d’approcher. Il m’appuya sur la tête pour me faire agenouiller et me dit en russe « suce moi salope et t’as intérêt à bien me faire jouir ». Pendant que je suçais sa grande bite il me tenait par les oreilles pour donner de rythme. Après j’ai dû aller me changer car il avait projeté son sperme sur ma robe. Lui ne m’a rien donné seulement sa main aux fesses pour me remercier. Un américain bedonnant et âgé m’a regardé enlever le plateau du petit déjeuné. Il m’a dit « Reviens tu n’as pas fini ». Puis il m’a dit « je suis âgé et je ne bande presque plus. Si tu y arrives je te donne ton salaire de la semaine en cash ». Il s’est mis nu et m’a dit reste habillée. Il m’a demandé de le sodomiser avec un god. Il a eu une petite érection et a voulu me sucer la chatte en écartant juste ma culotte. Ce n’était pas désagréable mais je n’avais pas de plaisir. Il n’a pas joui mais m’a quand même donné l’argent. Il y eu aussi un chinois, plus vicieux Bayan Escort encore. Lui il a voulu que je me mette nue et il m’a attachée sur le lit bras et jambes écartées et il a passé un grand moment à me faire mal en me pinçant les tétons, le clitoris et en me mettant des gifles. J’ai eu des larmes en silence. Il s’est mis au-dessus de moi et m’a uriné sur le visage puis il s’est masturbé et m’a forcé à ouvrir la bouche pour y projeter son foutre. Lui il m’a donné beaucoup d’argent en précisant « toi te taire, sinon … » en passant son doigt sur mon cou ».Il y avait des princes arabes sans limites. Contraint dans leur pays à une apparente moralité ils venaient dans ce palace pour affaires et aussi pour se défouler sur des blondes à peau très claire comme moi. Il y en avait un qui aimait bien avoir plusieurs filles en même temps. Il faisait venir une call-girl professionnelle. Quand il avait épuisé son imagination avec elle, il lui demandait de s’occuper de la femme de ménage devant lui. C’est ainsi que j’ai en des pratiques lesbienne avec des filles magnifiques et que j’y ai pris beaucoup de plaisir car ces pros savent y faire et trouvent très vite ce que leur partenaire aimera. Une fois j’avais joui bruyamment. Le prince me dit « viens ici petite salope et tourne toi à quatre pattes» puis il m’a sodomisée longuement sans ménagement comme pour me punir. La call-girl me regardait en souriant. C’est elle qui me remit l’argent en me disant à l’oreille « Pavla chérie, tu ne dois jamais faire voir si tu as du plaisir ».